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L'Art à travers le  Monde
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L'Art à travers le Monde
  • Ce blog est un inventaire, créé au travers des sites que je visite. J'y sélectionne ce qui me plaît. Je vous présente des portes. A vous de les ouvrir ou de les laisser closes. Je ne garde rien, Je veux que ces créateurs soient connus du plus grand nombre.
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30 mai 2013

Toutankhamon

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Toutânkhamon (né vers -1345, mort vers -1327) est le onzième pharaon de la XVIIIe dynastie (Nouvel Empire). Selon les dernières études, il est le fils d'Akhénaton et de la propre sœur de ce dernier, dont l'identité est inconnue, mais baptisée Younger Lady, dont la momie est répertoriée KV35YL, et non le fils de Néfertiti, comme on pouvait le croire jusqu'à présent2Manéthon l'appelle Chebres.

On ne sait pas pourquoi ce n'est pas directement lui qui succède à son père. Peut-être son trop jeune âge à l'époque, environ 9 ans (on trouve aussi 5 ou 6 ans), dans une période de troubles, de remises en cause des religions, de bouleversement des valeurs traditionnelles et de risque de guerre avec les Hittites. Il va régner jusqu'à l'âge de dix-huit ou dix-neuf ans (certains spécialistes comme, Marc Gabolde et Edward Frank Wente disent 20 ans). Son règne est situé entre les années -1336 /-1335 à -1327.

Pharaon obscur, Toutânkhamon doit sa célébrité à la découverte de sa sépulture par l'archéologue britannique Howard Carter le 4 novembre 1922 et au fabuleux trésor qu'elle recèle. La notoriété de la découverte augmenta grâce à une légende reprise par la presse de l'époque et faisant état d'une malédiction du pharaon.

 

Toutânkhamon naît en l'an XII du règne d'Akhénaton à Thèbes ou à Akhetaton, où il grandit dans le cercle de la famille royale. Toutânkhaton, son nom de naissance, signifie « L'image vivante d'Aton », c'est-à-dire la réincarnation terrestre du dieu.

Comme beaucoup de souverains de l'Égypte antique, sa filiation est restée longtemps obscure. Sa mère était-elle une simple concubine du harem royal, ou s'agissait-il de la Grande veuve royale Tiyi, de la mystérieuse épouse secondaire Kiya, ou encore de la sublime reine Néfertiti ?

De récentes études semblent avoir apporté une réponse définitive à ces questions. Selon Zahi Hawass, responsable des antiquités égyptiennes au musée du Caire, dont les travaux sont parus dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) du 17 février 2010, la mère du pharaon ne serait autre que la propre sœur de son père7. Les chercheurs se sont appuyés sur plusieurs méthodes dont la radiologie et l'analyse ADN effectuée sur seize momies dont onze, y compris celle de Toutânkhamon, étaient supposées être membres de la famille royale.

Ces travaux conduits de 2007 à 2009 visaient à déterminer les liens de parenté des momies et l'existence de caractéristiques pathologiques héréditaires chez Toutânkhamon. Ils ont permis d'identifier le père du pharaon comme étant Akhénaton. Les deux momies partagent plusieurs caractéristiques morphologiques uniques et ont le même groupe sanguin. Les auteurs de cette recherche ont aussi déterminé que la mère du jeune pharaon n'était pas Néfertiti, mais une épouse secondaire surnommée Younger Lady, dont la momie est répertoriée KV35YL et qui était la propre sœur d'Akhénaton. L'analyse génétique montre en effet une consanguinité entre les parents, le mariage entre frère et sœur étant commun dans la famille royale. Cette pratique de l'Égypte des pharaons est liée à la mythologie8.

Mais qui était la Younger Lady ? Les seules sœurs connues d'Akhénaton sont SatamonIsetHenouttaneb et Nebetâh. Les trois premières ayant épousé leur père, Amenhotep IIINebetâh serait alors la Younger Lady, et donc la mère de Toutânkhamon.

Les origines de Toutânkhamon restent néanmoins très obscures, d'autant plus que durant le règne d'Horemheb, un de ses successeurs, son nom et celui des souverains amarniens sont effacés.

 

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30 mai 2013

Vincent Mauger

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Vincent Mauger, des abscisses désordonnées
© Vincent Mauger


Hospitalités
Micro Onde, centre d’art de l’Onde
Dans 2 jours : Samedi 1 juin 2013 à 11:30

 

VINCENT MAUGER, DES ABSCISSES DÉSORDONNÉES
Au cœur du bâtiment de l’Onde, l’agencement sculptural proposé par Vincent Mauger renverse les perceptions qu’on a des lieux et de l’espace et les met sous tension. À partir d’une compilation d’œuvres autonomes, de nouvelles productions et d’œuvres conçues in situ, l’artiste dessine les contours d’un nouvel environnement où le matériau est amplifié dans de fascinants volumes. L’accumulation ou l’enchevêtrement d’un même élément brisé, scié, découpé, crée un rythme inattendu qui joue de vides et de pleins où le regard et le positionnement physique du spectateur est central pour appréhender l’œuvre.
Toute la poésie de Mauger réside dans une ambivalence matérielle : ses lourdes sculptures façonnées par la main et l’outil renvoient toujours à une esthétique de l’instable et de la fragilité.


RENDEZ-VOUS
• 10h : Rdv à l’entrée principale du RER C station Invalides. RER C direction Versailles Château Rive Gauche. Interventions & performances de Dector et Dupuy dans le temps du parcours.
• 11h30 : Rdv à Micro-Onde, centre d’art de l’Onde pour la visite de l’exposition de Vincent Mauger des abscisses désordonnées.
• 12h30 : Déjeuner au café de l’Onde.


Dans le cadre de :

Hospitalités — 31 lieux d’art contemporain
Exposition 25 mai → 6 juillet
Hospitalité est un événement d’art contemporain biennal, organisé par le réseau Tram à travers l’Île-de-France. La quatrième édition de cette importante manifestation explore notamment les questions liées au déplacement, aux territoires et aux réseaux. Elle esquisse aussi une nouvelle cartographie de l’Île-de-France, affirmant ainsi sa dimension métropolitaine.
8 bis, avenue Louis Bréguet
78140 Vélizy-Villacoublay
T. 01 34 58 19 92 — F. 01 34 58 03 36

ATT000~11211


Site officiel : lien externe http://www.londe.fr/
Horaires
Du mardi au vendredi de 13h à 19h
Le samedi de 10h à 16h
Les soirs de spectacles, ouverture 1h avant la représentation, lien externe  

ATT000~11211


http://www.slash.fr/fr/lieux/micro-onde

24 mai 2013

Peintures de Kentaro-Nishino

22 mai 2013

Art avec des plumes d'oiseaux Chris Maynard

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Art avec des plumes d’oiseaux, Chris Maynard

 

L’artiste américain Chris Maynard à utilisé des plumes d’oiseaux pour les transformer en véritables œuvres d’art dans sa série de sculptures sur plumes intitulée « Feather Dioramas ».

Cet artiste singulier a dû user de différente techniques pour parvenir à découper sur de véritables plumes ces silhouettes de paon et autres colombes prenant leur envol.

Son travail a nécessité l’utilisation d’instruments de chirurgie pour détourer ces dessins au pochoir et ainsi les recomposer de façon poétique et originale. 

ATT000~11211

 

Vous pouvez découvrir son portfolio sur son site : chrismaynard.see.me

 

Crédit Photo : Chris Maynard

 

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16 mai 2013

Sciences et Fictions

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Tom Bénard, Sans titre, 2012Maquette, Impression 3D — Dimensions variables Courtesy of the artist & Galerie de Roussan, Paris

Sciences et Fictions

Commence aujourd’hui : 16 mai → 15 juin 2013

L’exposition Sciences et Fictions est une réflexion sur le partage des connaissances entre deux mondes réputés opposés, ceux des sciences modernes et des fictions narratives qui s’en inspirent, ainsi que sur le passage des constructions imaginaires de l’un à l’autre.

Onze artistes ont décliné ce thème pour huit œuvres montrées à la galerie de Roussan qui adoptent des formes très diverses : installation, vidéo, sculptures ou livres, illustrés ou non. Les propositions peuvent être une exploration futurologique de notre présent, la mise en perspective à partir de références littéraires des changements de nos sociétés et de nos aspirations, l’extrapolation à partir des outils qui constituent notre environnement technologique de dystopies littéraires ou le voyage dans un monde humain rendu neutre et prêt à être réinvesti selon nos désirs.

Dans Cyborgs dans la brume, à la fois document et fiction vidéo, Gwenola Wagon etStéphane Degoutin vont à la découverte d’un territoire géographique et sociétal, scientifique et technologique, réel et imaginaire qui extrapole les fictions devenues notre réalité. Cette cartographie au scalpel d’une rue de Seine Saint-Denis révèle à la fois les industries cachées dans des bâtiments désincarnés et anonymes, la trame hétéroclite des populations qui l’occupent ou de mystérieux chercheurs transhumanistes qui mettent en œuvre un saut anthropologique forcé par la technologie. La machine, symbole éminent des sciences modernes, est partout, la ville est elle-même devenue une grande machinerie dans laquelle quelques humains cherchent encore frénétiquement la transcendance.

La sculpture de Tom Bénard fait également référence au Transhumanisme. Retournant leur proposition de modification de l’humain par la machine, c’est ici l’organique qui prend le dessus. Le bâtiment qu’il a conçu est comme une entité matricielle dans laquelle les humains joueraient le rôle d’organes en même temps qu’ils y sont protégés. Il s’agit donc d’un organisme dans lequel on peut différencier des parties mais qui, isolées, n’ont aucun sens. Il en a fait une maquette à l’aide d’une imprimante tridimensionnelle, elle-même sorte de « machine à répliquer » semblant issue de la science-fiction, actuellement source de spéculations, le fantasme de duplication par synthétisation de tout objet par quiconque, mettant fin à l’industrialisation.

Marion Laval-Jantet et Jean-Sébastien Guiliani créent, dans leur bande dessinéeFreepolis, une histoire se déroulant en Afrique équatoriale dans un monde futur où la puissance des plantes comme pharmacopée est devenue un enjeu majeur. Sorte de monde d’après le Seed Vault du Svalbard, cette « chambre forte mondiale de graines » issues de toutes les agricultures terriennes ultra sécurisée, dont le but reste énigmatique sauf en prévision d’une catastrophe majeure. C’est aussi l’occasion d’interroger les relations que nos sociétés rationalisantes et scientistes entretiennent avec les cultures qui comptent l’invisible comme partie de leur monde tangible et qui ont développé des rituels initiatiques pour y accéder, notamment à l’aide de psychotropes naturels rares, en l’occurrence, une orchidée.

C’est à la mesurabilité de notre monde que s’intéressent Lily Hibberd et David Guez. Celle-ci transforme un morceau de bois trouvé dans son jardin en sculpture de bronze. Mètre-étalon d’un genre nouveau, mesure de la nécessité intérieure, qui est pur et libre désir ; c’est aussi un objet fantasque : mètre mais partagé en segments de six centimètres, géométrie précise et absurde à la fois. Pataphysique duchampienne, bien sûr, et également réminiscence des heures passées par l’artiste au Musée des Arts et Métiers dans l’hermétisme d’expériences, désuètes par les outils d’époque et d’autant plus fascinantes dans leur dextérité à déployer un décodage ( un codage ? ) du monde physique.

David Guez s’interroge aussi sur la tangibilité de la mesure quand on passe du kilo octet — la mesure du monde numérique — aux étalons historiques, et envisage la réification de la dématérialisation par l’informatique dans des objets artistiques qui offrent un pont conceptuel entre le virtuel et le matériel.

Avec 84 DoorsBaden Pailthorpe expérimente la confusion et la perte de signification à travers le concept de novlangue. Google Translate est utilisé pour traduire des occurrences du roman 1984 de George Orwell, dans les 58 langues proposées à la traduction puis à nouveau en anglais, faisant apparaître les erreurs et équivoques que cette tentative algorithmique de traduction globale et automatisée produit. En retour, l’artiste rend visible dans un étrange diagramme l’effet artistique qu’il a lui-même produit en appliquant ce processus au premier paragraphe du roman, qui devient aussi un nouveau livre, relecture absurde du texte original.

C’est également une référence littéraire qui est à la source de la Stèle de Sandra Aubryet Sébastien Bourg, puisque l’inscription sur cette plaque de granit est la dernière phrase d’une nouvelle des Chroniques martiennes de Ray Bradbury — la planète leur appartenait mais « que signifiait exactement de posséder un monde ? ». Les artistes semblent à la fois poser la fin des mondes quand on les explore dans une manière de pierre tombale et expliciter que le temps de l’entendement est beaucoup trop long pour être compatible avec la frénésie de l’exploration.

Ludovic Duchateau propose une œuvre multiforme puisqu’il s’agit à la fois d’une installation composée d’objets construits — des valises contenant des objets à manipuler — et d’un lieu où les utiliser, de performances participatives auxquelles sont conviés les spectateurs, et de photographies. Chaque samedi, il propose sur rendez-vous d’explorer un monde que nous construirons nous-mêmes avec ces objets qu’il souhaitait « les plus transparents possibles, comme un écran » pour mieux y déployer notre imaginaire enfin débarrassé de toutes les strates de fictions additionnelles qui ne nous appartiennent pas en propre. Comme un jeu pour des adultes qui jouent sans plus connaître les règles, une boîte de constructions archétypales pour compositions abyssales.

L’exposition Sciences et Fictions fait partie d’un projet de recherche du département Art plastiques de l’Université Paris 8 ; il est soutenu par le Labex Arts-H2H. Il se compose cette année de cette exposition et d’une journée de colloque à la Gaîté Lyrique, le 21 mai.

Manuela de Barros

Vernissage Jeudi 16 mai 18:00 → 21:00

 

10, rue Jouye-Rouve
75020 Paris

 LIEN EXTERNE 

ATT000~11211

www.galeriederoussan.com

Belleville

Pyrénées

Horaires

Du mardi au samedi de 14h à 19h Et sur rendez-vous

 

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14 mai 2013

Temples Hindou

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14 mai 2013

Exposition MURANO

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MURANO 

UNE EXPOSITION INEDITE DU 27 MARS AU 28 JUILLET 2013

FRAGILE – MURANO

CHEFS-D’ŒUVRE DE VERRE DE LA RENAISSANCE AU XXIe SIECLE

Après Canaletto, le musée Maillol prolonge le séjour à Venise. C’est en 1453, que les verriers vénitiens développent une technique du verre qui permet un rendu de la matière fine et claire (cristallo) telle qu’on la connaît aujourd’hui. De chefs-d’œuvre en brevets, ils sont les acteurs et les témoins de six siècles d’histoire.

Deux cents œuvres sont présentées : de la coupe nuptiale en lattimo décorée d’émaux raffinés et miroirs audacieux du XVIe siècle, aux coupes gravées à la pointe de diamant du XVIIe, aux curieux meubles de verre et aux lustres fous des XVIIIe et XIXe siècles, à l’Art nouveau et aux objets du design, véritables signes sociaux de leur époque, jusqu’aux installations des grands artistes contemporains tels que Jean Arp, César, Jean-Michel Othoniel, Jan Fabre, Maria Grazia Rozin, Mona Hatoum  et d’autres.

Sous le haut patronage de la Ville de Venise, avec la participation des Surintendances des musées de Venise, Rome, Naples, Florence et Milan, du Victoria and Albert Museum de Londres, du National Museum et du Museum of Decorative Arts de Prague, du Stiftung Museum Kunstpalast de Düsseldorf, du Kunstsammlungen der Veste Coburg de Cobourg, du Musée des Arts Décoratifs Paris, du Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, du Petit Palais, des plus importantes collections particulières internationales et des artistes contemporains.

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LIEN EXTERNE 

ATT000~11211

www.museemaillol.com

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14 mai 2013

Carlos Bétancourt

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Quentin Shih, Dior Wuhan H., 2012Digital Chromogenic Print — 111 × 190.5 cm — Edition of 8Courtesy of the artist & Inception Gallery, Paris

Quentin Shih, Carlos Bétancourt, Marcus Lyon, Miguel Angel Sanchez

 

Encore 19 jours : 9 mai → 1 juin 2013

Carlos Betancourt est né et a grandi à San Juan, Puerto Rico. En 1981, il s’est installé à Miami Beach, en Floride. L’œuvre de Betancourt fait partie de plusieurs collections publiques — le Metropolitan Museum of Art de New York, la Galerie Smithsonian National Portrait à Washington, DC, le Miami Art Muséum, le San Antonio Museum of Art, au Texas, etc.

Il a reçu plusieurs prix et bourses, y compris le Florida Department de l’Etat du Millénaire Prix de reconnaissance culturelle, une dotation Nationale pour la subvention des arts et la bourse du Miami Beach Conseil des arts. Il a été commissionné pour créer des œuvres d’art pour divers lieux publics. Betancourt est co-fondateur du projet 801, un studio centre d’art qui offre un espace pour des artistes visuels basés à Miami.

Marcus Lyon, né en 1965, est un artiste britannique. Ses travaux et publications font partie de collections privées et internationales — l’Art Institute of Chicago, le Conseil des Arts de Grande-Bretagne. Son travail a été exposé à l’étranger dans plus de 85 manifestations. Au cours de vingt-cinq ans de carrière, acclamé par la critique, il s’est construit une réputation comme portraitiste. Il a photographié de nombreuses personnalités publiques et notamment la reine Elizabeth II, Bill Nighy et les quatre derniers premiers ministres britanniques. Lyon a remporté de nombreux prix pour son travail — la médaille d’or B&H, Photographe Agfa de l’année, une nomination au Prix Pictet, une nomination d’argent de D&AD et cinq prix AOP.

Ses premiers travaux ont porté sur la question sociale à la suite d’un reportage. Il a réalisé de nombreux travaux autour des sujets comme le sport pour les personnes handicapées et les classes les plus défavorisées des pays en voie de développement avec un accent particulier sur les enfants des rues et le travail manuel. Au début du XXIe siècle, son travail a changé du micro au macro avec la formation à grande échelle des séries BRIC etEXODUS « explorations de l’expansion urbaine et la migration dans le monde moderne ». Ces dernières années, Marcus a entrepris d’importantes commissions de collaboration produisant des images à grande échelle dans le domaine de la science et de l’art.

Quentin Shih, de son vrai nom Shi Xiaofan, est un photographe chinois autodidacte qui partage son temps entre New York et Pékin. Quentin Shih réalise ses premiers clichés durant ses études universitaires. Une fois son diplôme obtenu, l’artiste s’installe à Pékin et démarre sa carrière en tant que photographe professionnel. De 2000 à 2002, il participe à de nombreuses expositions en Chine et aux Etats-Unis et commence à s’intéresser de très près et avec beaucoup de talent à la photographie publicitaire ainsi qu’à la photographie de mode. En 2008, Quentin Shih est sélectionné par Christian Dior pour participer à l’exposition Dior et les artistes contemporains chinois, au Centre d’art contemporain de Ullens à Pékin, à l’occasion des 40 ans de la maison. Depuis, Quentin Shih collabore étroitement avec la maison de couture Christian Dior, pour qui il met en scène, à travers ses séries, les nouvelles collections de la maison. Il travaille également avec d’autres grandes marques pour la publicité et la mode — Adidas, Sony Ericsson,IBM, Yahoo, McDonald’s, Nokia, Siemens, LG, Vogue, Harper’s Bazaar and Esquire, etc. The Stranger in The Glass Box et Shanghai dreamers.

Fruit d’un travail de collaboration avec la maison Dior, ses photographies sont la rencontre entre l’élégance française des années 1970/80 et la Chine puritaine. Quentin Shih a réussi à créer son propre langage et concentre son travail sur la relation entre les peuples, l’interaction entre la culture chinoise et la culture occidentale. Ces thèmes sont traités avec une certaine dérision et ses photographies, tirées en grand format, sont remarquables.

Miguel Angel Sanchez cherche à capter les instants de vie des gens qu’il rencontre au fil de ses voyages et aime notamment photographier les personnages de la rue, après avoir partagé un moment avec eux. Ancien photographe publicitaire à Madrid, il décide il y a deux ans de s’installer au Caire où il commence un nouveau travail plus personnel dans son propre studio photo. L’artiste est né à Madrid en 1977. Diplômé en sculpture, il est primé par la Communauté de Madrid pour son travail documentaire photographique.

Dans son travail, l’artiste se concentre essentiellement sur la lumière afin de recréer le clair-obscur semblable aux peintures espagnoles et italiennes du XVIIe siècle de Ribera ou du Caravage. De cette tradition ancestrale, il a repris les codes. Il peut en effet passer plusieurs jours avant de finaliser une prise de vue. Cette longue durée du processus de création est un véritable choix de l’artiste ; elle s’apparente à ce que pouvaient ressentir les peintres d’alors. On retrouve aussi dans ses images le contraste très net entre les parties sombres et claires, ce qui permet d’augmenter la tension dramatique et de donner davantage de relief au personnage. Il s’en dégage une sensation de proximité entre le personnage et le spectateur.

ATT000~11211

http://www.slash.fr/fr/lieux/inception-gallery  -  Lien externe  -

 

37, rue de Poitou
75003 Paris

T. 01 77 16 68 07 — F. 01 42 74 37 16

www.inceptiongallery.com

Saint-Sébastien – Froissart

Horaires

Du mardi au samedi de 11h à 19h

 

 

8 mai 2013

un peu de pub svp

8 mai 2013

Poupée de collection.... je précise quelles sont exposées ici pour leurs beauté , mais non vendus !

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Marylin Monroe

8 mai 2013

Robert Lovejoy

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Robert Lovejoy

http://www.robertlovejoy.com/
Absurdité et humour des peintures de Robert Lovejoy au nom prédestiné..

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8 mai 2013

Precorded Universe

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Mathias Delplanque, La Plinthe (OS . 034), Optical Sound, 2008Couverture de CD© Black Sifichi

 

Prerecorded Universe

Commence  le  19 avril → 6 juillet 2013

 

Brion Gysin, père de la Dreamachine, découvreur du cut-up, pionnier de la sound-poetry, a collaboré avec des créateurs et musiciens tout au long de sa vie, générant une œuvre complexe, expérimentale et protéiforme. Les outils du cut-up et des permutations viennent effacer le Verbe et ainsi remettre en question la sujétion aux imageries du contrôle dominant. Le son, la musique, permettent un accès plus direct, plus libre, à l’individu. Gysin maitrise les inventions techniques et les pratiques physiques pour reconfigurer son « mind » — esprit, connaissances et conscience de soi et du monde, réflexion. Il est encore un maître à penser pour de nombreux inventeurs culturels.

Prerecorded Universe, dont le titre évoque les cut-ups faits de bandes magnétiques, métaphores d’un monde préenregistré, que l’on peut découper, ré-assembler ou brouiller, présente des créations récentes d’artistes qui réactualisent l’investissement de Gysin à contester une réalité. Les perceptions sensorielles du temps et de l’espace y sont mises à mal, déjouées et recomposées. Des performances, une édition, une émission radio viennent apporter des alternatives à l’exposition et enrichissent ainsi son répertoire de formes, ses desseins et s’infiltrent vers d’autres publics.

Cette enquête expose, à la façon d’un sample, des filiations où se croisent le poète spoken word Black Sifichi, les musiciens Mathias Delplanque et Ramuntcho Matta, les artistes Pierre Beloüin, Fouad Bouchoucha, P. Nicolas Ledoux, les vidéastes Eric et Marc Hurtado, la compositrice-plasticienne Myriam El Haïk, les étudiants de l’ENSAPC et de l’école de Kaywon en Corée ou encore de nombreux groupes rocks, industriels, alternatifs.

 

20, rue Louise Weiss
75013 Paris

T. 01 43 38 49 65

www.ensapc.fr/ygrec

Bibliothèque François Mitterrand

Chevaleret

Horaires

Du mercredi au samedi de 13h à 19h

 

8 mai 2013

Peintures de Walter Martin Baumhofer, moi personnellement j'adoreee

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3 mai 2013

Peintures de cristaux de swarovski

1 mai 2013

Helmut Grill

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Helmut Grill, Enjoy, 2013Impression sous Diasec — 100 × 120 cm — Edition de 3Courtesy of the artist & Lili-Ubel gallery, Paris

 

Helmut Grill

Illusion

Commence demain : 2 mai → 8 juin 2013

L’exposition Illusion présente un choix d’œuvres entre ce que l’on voit et ce que l’on croit, pour nous pousser à notre propre questionnement.

Illusion, le romantisme et sauvage Jardin d’épicure, l’immense steppe africaine ou les icebergs de l’Antarctique, constituent le contexte inoffensif et étrange de ses constructions photographiques. Les détails qu’il y cache cependant, suscitent des questions, induisent en erreur, déroutent et même bouleversent. Pour Helmut Grill, les messages écrits sont particulièrement importants. Ils sont apposés au dessus de portes, lisibles sur des panneaux ou a découvrir dans l’œuvre, témoignant de l’humour ou de l’esprit critique de l’artiste. « The stupid are cocksure », peut on lire là ou se tient Hitler. « Blow me away » peut on lire sur le bandeau qui suit l’avion, « Don’t feed the fears » sur le lieux où se nourissent les artistes ou encore « Happy mess » . Les mots portent le spectateur à réfléchir ou à sourire.

Françoise Privat

 

42, rue de la Folie Méricourt
75011 Paris

T. 06 07 44 80 33                                                                      LIEN EXTERNE 

ATT000~11211

 

www.lili-ubelgallery.com

Oberkampf

Parmentier

Saint-Ambroise

Horaires

Du jeudi au samedi de 14h à 19h30
Et sur rendez-vous

 

Vernissage Jeudi 2 mai 17:00 → 21:00

 

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