Helmut Grill
Helmut Grill, Enjoy, 2013Impression sous Diasec — 100 × 120 cm — Edition de 3Courtesy of the artist & Lili-Ubel gallery, Paris
Helmut Grill
Illusion
Commence demain : 2 mai → 8 juin 2013
L’exposition Illusion présente un choix d’œuvres entre ce que l’on voit et ce que l’on croit, pour nous pousser à notre propre questionnement.
Illusion, le romantisme et sauvage Jardin d’épicure, l’immense steppe africaine ou les icebergs de l’Antarctique, constituent le contexte inoffensif et étrange de ses constructions photographiques. Les détails qu’il y cache cependant, suscitent des questions, induisent en erreur, déroutent et même bouleversent. Pour Helmut Grill, les messages écrits sont particulièrement importants. Ils sont apposés au dessus de portes, lisibles sur des panneaux ou a découvrir dans l’œuvre, témoignant de l’humour ou de l’esprit critique de l’artiste. « The stupid are cocksure », peut on lire là ou se tient Hitler. « Blow me away » peut on lire sur le bandeau qui suit l’avion, « Don’t feed the fears » sur le lieux où se nourissent les artistes ou encore « Happy mess » . Les mots portent le spectateur à réfléchir ou à sourire.
Françoise Privat
42, rue de la Folie Méricourt
75011 Paris
T. 06 07 44 80 33 LIEN EXTERNE
Oberkampf
Parmentier
Saint-Ambroise
Horaires
Du jeudi au samedi de 14h à 19h30
Et sur rendez-vous
Vernissage Jeudi 2 mai 17:00 → 21:00
Mireille Schellino Artiste sculpture
Biographie artiste
Née à Nice sous le signe de la Balance elle a exercé le métier d’éditeur d’ouvrages sur le patrimoine culturel et touristique de la Côte d’Azur.
Passionnée depuis toujours par le dessin et la couleur, elle peint des tableaux colorés et chaleureux d’abord à l’aquarelle puis à l’huile.
Irrésistiblement attirée par la matière, elle s’initie au modelage en travaillant « le vide », créant des poteries évidées à la limite de la rupture.
S’appuyant sur des textes choisis elle laisse sa force et sa douceur s’exprimer par ses représentations de femmes qui évoquent par leur solide présence les préoccupations liées à la sensibilité féminine.
Au gré de ses voyages, lectures et rencontres viennent enfin ces « femmes de la terre », guerrières, protectrices,
généreuses fécondes et sereines. Chacune parle intimement à l’âme du spectateur, le transportant dans un monde intérieur émotionnel intense. Chacune d’elles est un lien entre la matière et l’esprit.
La terre est pour moi…
La terre est pour moi une autre façon de communiquer avec les autres et ma petite participation au monde.
La terre comme matière première de création, caresse de la main, de l’air, du feu, irrépressible désir de toucher, de saisir, de m’approprier, d’incorporer du réel…
La terre comme moyen d’expression spontané où la main pour seul outil imprime en écriture directe sur la matière, les émotions et les sentiments.
La terre comme le silence, paupières baissées, regard intérieur dans l’attente du premier geste, souffle apaisé pour abandonner plus encore, glisser, le cœur battant la musique des origines, mémoire des cavernes, goût de cendre, odeur de feu, résonance, création perpétuelle…
La terre comme douceur, caresse, regard, désir, abandon, geste, grâce, rigueur, illusion, violence, désespoir, force, fragilité, ferveur, oubli, présence, vérité, reliance, racines, souvenir, enfance, émotion, imagination, rêve, silence, espoir, plénitude, partage, modestie, patience, bonheur, encore…
Un jour j’ai rencontré la terre, elle m’a fait naître à moi même,
Elle a bouleversé ma vie…
Mireille Schellino
Après m'avoir contacter, je luis dépose son lien où vous trouverer son atelier, bravo à cette artiste !!!
Sabine Moritz à la Galerie Goodman
Sabine Moritz, WaitingHuile sur toile — 65 × 75 cmCourtesy de l’artiste et galerie Marian Goodman, Paris, New York
SABINE MORITZ À LA GALERIE MARIAN GOODMAN
La galerie Marian Goodman expose sur deux étages, comme deux strates d’un travail initié il y a dix ans, les peintures et dessins de l’artiste allemande contemporaine Sabine Moritz. Seconde Guerre mondiale et nouvelles guerres en Irak et au Pakistan y sont traitées dans des tons verts glauques et profonds, par touches impressionnistes. S’y touchent bord à bord actualité brûlante et dimension « anhistorique ». Lien externe
« Sabine Moritz — Limbo 2013 », Galerie Marian Goodman du 22 mars au 4 mai.En savoir plusFace à la douceur qui émane des huiles sur toile et des dessins au pastels et au fusain de Sabine Moritz, une question se pose dès le seuil de la galerie : comment des sujets aux attributs explicitement guerriers ; nuées d’hélicoptères, soldats tapis dans une forêt, immeubles dévastés, fumées épaisses et débris peuvent-ils paraître si agréables à la vue ? Et plus encore, être traités comme le seraient des thèmes bucoliques ? Impossible, en effet, de ne pas penser à Monet et ses nymphéas tant le soin porter à la lumière et les teintes qu’elle utilise s’en rapprochent.
Loin de vouloir édulcorer la crudité des motifs, Sabine Moritz semble les auréoler de son imaginaire et de la façon dont elle vécut elle-même la guerre froide lorsqu’elle était jeune et plus tard les attaques du 11 septembre. Aussi, ces images parlent-elles d’histoire tout autant que de son histoire, truisme indépassable de la petite et de la grande…
Sabine Moritz, Digger, 2004-2013 Courtesy de l’artiste et galerie Marian Goodman, Paris, New York
C’est en effet après les attaques du 11 septembre qu’elle consacra l’ensemble de ses travaux à ce thème des conflits (armés ou silencieux). Le vol de l’avion dans lequel elle se trouvait au moment-même où explosaient les tours du World Trade Center a sans doute constitué un traumatisme qu’elle a choisi de sublimer. De façon assez obsessionnelle, comme en témoignent ses séries d’avions de chasse ou d’hélicoptères, à la manière de Monet, une fois de plus, qui s’attacha à dépeindre heures après heures meules et peupliers.Savant mélange entre souvenir et réalité, Sabine Moritz tire souvent les scènes de ses toiles de coupures de presse, de photographies et d’illustrations de livres d’histoire, pour brouiller un peu plus les pistes entre réel documenté et imaginé, vu ou subi. Entre réel et fiction, elle trouve en tout cas une forme brillante quelque part entre les plaies et traumas de l’Allemagne d’un Anselm Kiefer qui aurait croisé la route de Giverny.
Sabine Moritz, Heimkehr II / Return Home II, 2010 Courtesy de l’artiste et galerie Marian Goodman, Paris, New York
LIEN EXTERNE
« Sabine Moritz — Limbo 2013 », Galerie Marian Goodman du 22 mars au 4 mai. En savoir plus
ELENA Dudina
Elena Dudina, des photomontages sur fond de fantastique
Le travail d’Elena Dudina, graphiste espagnole, mérite qu’on s’y attarde. Ses photomontages sont réellement magnifiques et ses retouches apportent une dimension fantastique à ses images.
L’univers d’Elena Dudina emprunte aux contes de fées et aux épopées d’heroic fantasy. Les héroïnes y sont belles, d’une grâce poétique à laquelle l’artiste ajoute des détails de son cru : fleurs, lapins, clairs de lune… Les modèles se transforment en fées graciles ou sombres. Du très beau travail !
http://elenadudina.deviantart.com
La Ferronnerie d'Art un métier peu connu et pourtant si beau !
La ferronnerie est l'art et la technique du travail du fer à la forge, à l'étampe ou au marteau. Les ouvrages de ferronnerie sont réalisés par un ferronnier ou un forgeron. On peut distinguer:
- La ferronnerie du bâtiment, qui produit des objets et des ornements architecturaux en fer forgé (garde-corps, grilles, rampes, ou objets d'art). La ferronnerie a constitué le prolongement décoratif naturel des bâtiments de toutes les époques.
Simultanément au perfectionnement des techniques d'extraction du fer, la ferronnerie, plus légère et plus résistante, a remplacé les protections de bois ou de pierre qui sécurisaient les édifices.
- La ferronnerie domestique, qui regroupe les ustensiles culinaires, (tournebroches, chenets) et la ferronnerie funéraire.
- La ferronnerie du travail, liée à la production agricole ou artisanale (charrues, bêches, herses, outillages).
Aucun traité de serrurerie antérieur au XVIIe siècle n'a été conservé1; le premier traité qui nous soit parvenu fut écrit par Mathurin Jousse en 1627, suivi en 1762 par l'Art du serrurier rédigé par Duhamel du Monceau.
La ferronnerie a connu un développement très important au xixe siècle avec l'apparition de la fonderie et la diffusion de modèles industriels en fonte.
La ferronnerie populaire
La ferronnerie populaire recouvre la production des artisans locaux, généralement maréchaux-ferrants, qui disposaient des moyens techniques — forge et enclume — et du savoir-faire pour travailler le fer.
Cette production rustique, à vocation essentiellement utilitaire, se retrouve encore dans les bâtiments ruraux. Les modèles les plus évolués, à tendance décorative, furent produits à petite échelle pour embellir les maisons des notables, les devantures des commerces, les tombes et pour réaliser des calvaires.
Dans ces œuvres artisanales, les volutes sont tournées sur gabarits, leurs extrémités sont roulées ou martelées à chaud ; elles sont assemblées par rivetage ou par soudage à la forge. Les assemblages sont parfois consolidés et masqués par un collier en plomb coulé dans un moule démontable directement sur la grille.
Grilles en fer forgé de la place Stanislas de Nancy par Jean Lamour, 1755
Grille en fer moulé, Palais d'hiver, St-Petersbourg, Russie, 1762.
Liée à l'engouement pour l'art nouveau et les arts décoratifs, la ferronnerie d'art connaît en France et en Belgique un renouveau spectaculaire dans la dernière partie du xixe siècle et la première partie du xxe siècle. Le style art nouveau exploitera les possibilités de la fonderie pour développer des ferronneries à motifs végétaux qui se répandent des jardins publics aux entrées de métro parisiennes.
Artistes et artisans ferronniers célèbres
- Jean Berain
- Pierre François Marie Boulanger
- Edgar Brandt
- Hector Guimard
- Jean Lamour
- Vincent Belloc
- Jean Lepautre
- Daniel Marot
- Jean Prouvé
- Jean Tijou
- Gilbert Poillerat
- Raymond Subes
- Jean Veyren
La ferronnerie industrielle
Apparue au xixe siècle, la ferronnerie industrielle va de pair avec l'extension des fonderies et la baisse de prix qui en résulte. Elle donne lieu à un large catalogue de pièces moulées standard destinées aux balcons et grilles des demeures bourgeoises, mais aussi à celles des tombes.
Ce modèle de décoration et de délimitation de propriété, importé de la ville, se diffuse au milieu du xixe siècle jusqu'au fond des campagnes françaises, s'intégrant au monde rural traditionnel (habitat et art funéraire) chez tous les paysans qui en avaient les moyens. Balcons et rambardes en fer moulé, grilles d'entrée et portails monumentaux sur catalogue remplaceront ainsi le fer forgé utilitaire des forgerons locaux.
La ferronnerie d'art
Un certain nombre d'artistes se sont investis dans le travail du métal. Portés par la demande des édifices publics, cathédrales, palais, demeures de prestige de la noblesse ou de la haute bourgeoisie, ils connaissent parfois la notoriété.
Des travaux de ferronnerie spectaculaires datant du Moyen Âge sont visibles sur les portes ouest de Notre-Dame-de-Paris. Sur ces portes, la ferronnerie reste encore un renfort et une protection du bois. Il faudra attendre le xvie siècle pour que la ferronnerie s'affranchisse du support du bois.
Sous Louis XIII et surtout sous le règne de Louis XIV, la ferronnerie française atteint le plus haut niveau d'excellence.
En 1788, Buffon fait construire par l'architecte Verniquet une gloriette dans le Jardin du Roy. Cet édifice est l'une des toutes premières constructions métalliques au monde. Elle est majoritairement réalisée avec du fer provenant des Forges de Buffon.
L'Angleterre du xviie siècle connaît de son côté un fort développement de la ferronnerie à la suite de l'arrivée du ferronnier Jean Tijou. Cet artisan français protestant, qui avait fui son pays comme nombre de ses compagnons à la suite de la révocation de l'édit de Nantes en 1685, gagna la confiance de William III. On lui doit la multitude de grilles du Château de Hampton Court.
Le style Rococo, apparu à la fin du xviiie siècle, relance l'intérêt pour la ferronnerie en imposant de nouveaux défis techniques aux artisans. Les grilles de la place Stanislas à Nancy, réalisées par Jean Lamour, sont un exemple de ces productions.
Superbe escalier du "Petit Palais Musée de Pari"s où je vous ai déposé un article avec une vidéo
" Le Louvre" je l'ai visité et le partage avec vous !
LIENS EXTERNE
Musée du Louvre
Le musée du Louvre est l'un des plus grands musées du monde et le plus grand musée de Paris par sa surface de 210 000 m2 dont 60 600 consacrés aux expositions. Situé au cœur de la ville, entre la rive droite de la Seine et la rue de Rivoli, dans le 1er arrondissement, le bâtiment est un ancien palais royal, le palais du Louvre. La statue équestre de Louis XIV constitue le point de départ de l'axe historique, mais le palais n'est pas aligné sur cet axe. Le Louvre possède une longue histoire de conservation artistique et historique de la France, depuis les rois capétiens jusqu'à nos jours.
Variété des œuvres exposées
Musée universaliste, le Louvre couvre une chronologie et une aire géographique larges, depuis l'Antiquité jusqu'à 1848, de l'Europe occidentale jusqu'à l'Iran, via la Grèce, l'Égypte et le Proche-Orient. Il est constitué de huit départements : Antiquités orientales, Antiquités égyptiennes, Antiquités grecques, étrusques et romaines, Arts de l'Islam, Sculptures, Objets d'art, Peintures, Arts Graphiques et présente 35 000 œuvres dans 60 600 m2 de salles. Presque toutes les œuvres exposées sont consultables sur internet dans la base Atlas.
Les œuvres du musée sont de nature variée : peintures, sculptures, dessins, céramiques, objets archéologiques et objets d'art entre autres. Parmi les pièces les plus célèbres du musée se trouvent le Code de Hammurabi, la Vénus de Milo, La Joconde de Léonard de Vinci, et La Liberté guidant le peuple d'Eugène Delacroix (œuvre transférée au Louvre-Lens en 2012). Le Louvre est le musée le plus visité au monde, avec 8,5 millions de visiteurs en 2010.
À Paris, plusieurs musées nationaux sont complémentaires des collections du Louvre.
Le palais royal
À l'origine du Louvre existait un château fort, construit par le roi Philippe Auguste en 1190, et qui occupait le quart sud-ouest de l'actuelle Cour Carrée. Le plan de la forteresse constituait un quadrilatère d'environ 70 à 80 mètres de côté, entouré de fossés, flanqué de tours et possédant deux entrées, au milieu duquel se trouvait un puissant donjon, la Grosse tour du Louvre, de laquelle dépendaient tous les fiefs de France. L'une de ses principales missions était la surveillance de la partie aval de la Seine, l'une des voies traditionnelles empruntées lors des invasions et razzias depuis l'époque des Vikings. Avec le transfert des biens de l'Ordre du Temple à l'Ordre de l'Hôpital, le Trésor royal précédemment conservé à la Maison du Templede Paris est transporté en 1317 au Louvre. Charles V fait du château une résidence royale.
Devenue obsolète, la Grosse tour est détruite par François Ier en 1528. En 1546, le roi commence la transformation de la forteresse en résidence luxueuse en faisant abattre la partie ouest de l'enceinte médiévale qu'il fait remplacer par une aile destyle Renaissance érigée par Pierre Lescot. Ces travaux se poursuivent sous le règne d'Henri II et de Charles IX : la partie sud de l'enceinte du « vieux Louvre » est à son tour démolie pour laisser, là aussi, la place à une aile Renaissance.
En 1594, Henri IV décide d'unir le palais du Louvre au palais des Tuileries construit par Catherine de Médicis : c'est le « Grand Dessein », dont la première étape est la Grande galerie qui joint le pavillon de Lesdiguières (en l'honneur de François de Bonne, baron de Champsaur, dernier connétable de France et premier duc de Lesdiguières) au pavillon de La Trémoïlle (en l'honneur d'Henri de La Trémoille (1598-1674), mestre de camp de la cavalerie légère de France).
La Cour Carrée est édifiée par les architectes Lemercier puis Le Vau, sous le règne de Louis XIII et Louis XIV, quadruplant la taille de l'ancienne cour de la Renaissance (nécessitant donc la démolition du reste de l'enceinte médiévale). La décoration et l'aménagement du palais sont alors dirigés par des peintres comme Poussin, Romanelli et Le Brun. Mais tout ceci est brutalement interrompu lorsque Louis XIV choisit Versailles comme centre du pouvoir et résidence royale en 1678. Le Louvre reste alors longtemps tel quel. Ce n'est qu'au xviiie siècle que de nouveaux projets, menés notamment par Gabriel et Soufflot, viennent continuer et achever le « Grand Dessein ». Un de ces nouveaux projets est celui de transformer le Louvre en musée. Il prend naissance sous Louis XV mais n'aboutira véritablement qu'avec la Révolution.
Coup de coeur pour la Calligraphie chinoise
Calligraphie chinoise
La Calligraphie est un art chinois qui permet de former les signes d'une langue et avoir un large champ d'expression.
La plus connue de toutes est celle qui est dessinée avec un pinceau, il vous faudra beaucoup de souplesse dans le poignet pour commencer votre apprentissage de ce merveilleux langage original et riche de la culture asiatique chinoise.
Histoire de la calligraphie
À une période lointaine, les Chinois gravaient sur des os d'animaux comme le bœuf, ou sur les carapaces des tortues. Plus tard, ils commencèrent à faire des livres et écrire avec une plume de bambou.
La calligraphie a plus de 3000 ans. Il y a plusieurs étapes pour bien apprendre à écrire chinois. Petits conseils pour les cours de calligraphie.
Matériel
Les pinceaux
Plusieurs sortes de pinceaux sont utilisés pour la peinture chinoise. Chacun d'entre nous a une façon différente pour écrire. Certains appuieront plus ou moins sur le pinceau, ce qui est dû à la rigidité du poignet.
Les trois types de pinceaux les plus utilisés sont à poil de loup, à poils de chèvre, mais vous avez aussi un mélange des 2 poils pour un pinceau unique.
Avant toute utilisation, la pointe du pinceau est recouverte de colle, il faut la dissoudre avant toute chose, de l'eau tiède suffit généralement.
Le papier
Au départ, prenez un papier dit de "brouillon" pour vous entraîner. Vous trouverez un papier nommé "Maobianzhi" qui est jaune et fait d'herbes. Il est peu coûteux.
Ensuite, une fois votre calligraphie plus sûre, vous choisirez d'autres papiers pour calligraphie à base de riz, il y en a 2 sortes : l'un absorbant qui est le plus utilisé et qui se nomme "Shengxuan" et le second, plus rare s'appelle "Shu xuan".
L'encre
L'encre pour la calligraphie est à base de plantes végétales, de noir de fumée (bois de sapin) et d'une colle. Vous la trouverez sous forme de bâtonnets et plus vous frotterez celui-ci, vous obtiendrez une encre épaisse, pour changer de nuance et de texture, vous rajouterez un peu d'eau. Généralement, vous pourrez la mettre dans un petit pot, une fois que vous aurez obtenu la texture désirée.
Apprentissage de la calligraphie
Lorsque vous débuterez, vous tremperez délicatement votre pinceau dans l'encre et tapoterez pour enlever l'excédent. Surtout ne pas appuyer sur la pointe, cela détériorerait celle-ci.
Le tracé
Celui-ci se réalise en 3 étapes distinctes, vous avez d'abord :
L'amorce puis le corps et la terminaison. Ce sont des notions importantes pour apprendre la calligraphie.
Prenez votre temps pour bien apprendre et ne soyez pas déçu de vos premiers essais. Il faut du temps pour acquérir cet art.
Voici un cours gratuit de calligraphie en ligne, ils vous aideront en image à mieux comprendre : www.chine-nouvelle.com
Voici quelques exemple de Caligraphie que j'ai apprècier
Ron Mueck Sculpteur australien
Ron Mueck, Mask II, 2001Matériaux divers© Ron Mueck — Photo courtesy Anthony d’Offay, Londres
Ron Mueck
Dans 5 jours : 16 avril → 29 septembre 2013
La Fondation Cartier pour l’art contemporain invite le sculpteur australien Ron Mueck à présenter ses œuvres émouvantes et troublantes, marquant son grand retour institutionnel en Europe. Après le succès de 2005 à la Fondation Cartier, cette nouvelle exposition personnelle est la plus complète et la plus actuelle de la production de l’artiste. Elle dévoile notamment, outre six œuvres récentes, trois sculptures réalisées spécialement pour l’exposition. Ces œuvres, révélées dans l’intimité de leur création à travers un film inédit, réaffirment toute la modernité d’un art à fleur de peau, aussi puissant qu’évocateur.
La découverte exceptionnelle d’une œuvre rare et secrète.
Vivant à Londres, Ron Mueck a exposé dans les musées du monde entier, au Japon, en Australie, en Nouvelle Zélande et au Mexique. Son exposition à la Fondation Cartier est un événement d’autant plus exceptionnel que les opportunités de voir ses œuvres sont extrêmement rares. Travaillant lentement dans son atelier londonien, il fait du temps un élément privilégié de sa création. Ses figures humaines, réalistes à l’excès, mais qui jouent sur des changements d’échelle surprenants, demeurent aussi éloignées du naturalisme académique que du pop art ou de l’hyperréalisme.
Trois nouvelles sculptures dévoilées au public pour la première fois.
Donnant à voir deux adolescents dans la rue, une mère et son bébé et un couple sur la plage, elles sont autant d’arrêts sur image sur une relation entre deux êtres, saisis dans un moment à la fois ordinaire et intrigant. La précision des gestes, l’exactitude de la chair, la souplesse soupçonnée de l’épiderme leur donnent toute l’apparence de la réalité. Cette obsession du vrai témoigne, chez cet artiste en quête de perfection, d’une approche sensible jusqu’à l’extrême des formes et des matériaux. En repoussant les limites de la ressemblance, il propose au visiteur des œuvres secrètes et silencieuses, méditatives et mystérieuses.
Des œuvres qui touchent à l’universel.
Il émane de ces œuvres une spiritualité et un profond humanisme suggéré par les sujets en apparence si ordinaires, suscitant une compassion inévitable du spectateur. Au-delà de toute intention portraitiste, Ron Mueck nous confronte à l’inquiétante étrangeté du rapport au corps et à l’existence.
Ron Mueck renouvelle ainsi profondément la sculpture figurative contemporaine.
Les œuvres de Ron Mueck sont nourries de sources riches et diverses — images de presse, bandes dessinées, histoire de l’art, souvenirs proustiens ou fables et légendes anciennes. Ainsi, tandis que Still Life (2009) se situe dans la plus pure tradition de la nature morte, d’ancestraux souvenirs d’histoires de sorcières nous envahissent devant la silhouette ployée de Woman with Sticks (2008). Drift (2009) et Youth (id.) semblent quant à elles sortir de la une d’un quotidien, tout en évoquant en même temps des œuvres du passé. A la manière de ce grand visage endormi Mask II, (2001-2002), véritable masque du songe, les sculptures de Ron Mueck font surgir le rêve dans le réel.
http://www.slash.fr/fr/lieux/fondation-cartier
261, boulevard Raspail
75014 Paris
T. 01 42 18 56 50 — F. 01 42 18 56 52
Raspail
Horaires
Tous les jours sauf le lundi de 11h à 20h
Nocturne le mardi jusqu’à 22h
Tarifs
Plein tarif 9,50 € — Tarif réduit 6,50 €
Melonie Foster Hennesy
Melonie Foster Hennessy
Reflection
Encore 15 jours : 4 → 24 avril 2013
Née aux Etats-Unis en 1971, Melonie Foster Hennessy vit et travaille en France depuis les années 90. Après un diplôme en Histoire de L’Art, Melonie se passionne pour la photographie et en fait son métier.
Avec Reflection, Melonie Foster Hennessy renoue le dialogue avec notre part d’enfance intérieure et nous fait vivre nos rêves capturés dans une image en trois dimensions, pour l’éternité.
Elle aime reproduire le clair-obscur cher aux peintres de la Renaissance Italienne, grâce à une pratique artistique amenant une dimension holographique et une impression de perspective, de profondeur et de mouvement. Ses photographies se transforment ainsi en des tableaux vivants, images irréelles, qui semblent nous suivre de leur regard et nous raconter des histoires fantastiques inspirées des contes de notre enfance.
L’artiste nous livre sa vision du monde sans concession et nous oblige à un face-à-face intime avec nous-mêmes… Que sont devenues nos croyances enfantines avec le temps qui passe ? Le visage de l’enfance face à l’objectif de Melonie devient celui de la vérité du monde : grave, parfois triste ou simplement inquiétante. Liberté d’expression absolue dans la nuit, comme celui qui se cache ou qui imagine qu’on ne le voit pas. L’enfant réinvente sa légende et devient le héros de ce conte fantastique, illuminé de paillettes d’or qui réfléchissent la lumière, comme les étoiles de la galaxie.
Magicienne du temps et portraitiste passionnée, la photographe poursuit son chemin initiatique de perspectives et de lumières et nous livre, à la Republic Gallery, une série de huit portraits d’enfants photographiés en clair obscur, dans un jeu de lumière et de miroir envoûtants.
Melonie Foster Hennessy parvient à capturer pour l’éternité ces expressions d’enfants aux humeurs si changeantes. Leur visage s’incarne et vous regarde, vivant — pour toujours. Comme si le temps s’était arrêté.
- Vernissage Jeudi 11 avril à 18:00
lien en dessous
38, rue Notre Dame de Nazareth
75003 Paris
République
Strasbourg Saint-Denis
Temple
Horaires Du mardi au samedi de 14h à 19h
Et sur rendez-vous
Le Petit Palais (monument historique de Paris )
Le Petit Palais est un monument historique de Paris, aujourd'hui utilisé comme musée des beaux-arts, qui fut construit à l'occasion de l'Exposition universelle de 1900 par l'architecteCharles Girault. Il est situé dans le VIIIe arrondissement, avenue Winston-Churchill, face au Grand Palais.
Ce site est desservi par la station de métro Champs-Élysées - Clemenceau.
Présentation
Le Petit Palais est organisé autour d'un jardin semi-circulaire. Les lieux d'exposition sont situés au premier étage, le rez-de-chaussée étant consacré à l'origine aux bureaux et aux réserves.
La façade fait près de 150 m de long, centrée par un porche monumental surmonté d'un dôme. Des colonnes ioniques à volutes en diagonales en ornent la face principale ainsi que lepéristyle semi-circulaire de la cour intérieure. Le décor est complété par de nombreux bas-reliefs.
Charles Girault avait conçu des espaces uniquement éclairés par la lumière naturelle, créant verrières, coupoles transparentes et larges baies.
La façade du Musée royal de l’Afrique centrale de Tervuren, en Belgique, également dessinée par Charles Girault, reprendra en partie la composition et les motifs du Petit Palais.
L'architecture du Petit Palais ressemble très significativement à l'Opéra de Saigon au Vietnam, ancienne capitale de l'Indochine française et construit lui aussi en 1900 (d'où cette ressemblance).
Les collections
Plan du Petit Palais lors de l'exposition de 1900.
Dès 1902, le Petit Palais devient « Palais des Beaux-Arts de la Ville de Paris » pour accueillir une collection permanente (de l'Antiquité à la fin du XIXe siècle, les collections du XXe sièclese trouvant au palais de Tokyo), et des expositions temporaires.
Ces collections ont été enrichies par de multiples donations dont on peut citer les plus importantes :
- Eugène et Auguste Dutuit ont cédé leur collection en 1902, riche de près de 20 000 œuvres et comportant plusieurs œuvres majeures de l'école hollandaise (dont un autoportrait deRembrandt et l’Enlèvement de Proserpine de Rubens), des antiquités grecquo-romaines, des objets d'arts du Moyen Âge et de la Renaissance, des gravures et des dessins de maîtres (Martin Schongauer, Albrecht Dürer, Rembrandt, Fragonard…).
- Edward et Julia Tuck cèdent en 1930 leur collection d'objets d'art français du XVIIIe siècle.
- Ambroise Vollard cède plusieurs œuvres modernes au musée, parmi lesquelles on peut citer le Portrait d'Ambroise Vollard au chat par Pierre Bonnard (1924) ou un autre portrait du mécène par Paul Cézanne (1899) .
- Roger Cabal lègue au musée une collection d'icônes en 1998.
Parallèlement à ces dons, le musée va acquérir de nombreuses œuvres dont plusieurs tableaux de Gustave Courbet.
Depuis une dizaine d’années, la photographie contemporaine est entrée au Petit Palais lorsqu’il a été décidé de présenter, en introduction aux grandes expositions internationales, des images de photographes inspirés par les civilisations exposées. Certaines de ces photographies ont ensuite été acquises par le musée. Des photographies contemporaines ont également été commandées à l’artiste Flore lors des travaux précédant la réouverture du Petit Palais.
Sculpture
- Le Petit Palais est un monument historique de Paris, aujourd'hui utilisé comme musée des beaux-arts, qui fut construit à l'occasion de l'Exposition universelle de 1900 par l'architecteCharles Girault. Il est situé dans le VIIIe arrondissement, avenue Winston-Churchill, face au Grand Palais.
Arts graphiques
Le fonds d'arts graphiques du musée est constitué de 18 000 gravures et 9000 dessins anciens et modernes. La collection de dessins comprend des pièces de Rembrandt, Jacob van Ruisdael, Adriaen Van Ostade, Antoon Van Dyck, Le Lorrain, Antoine Watteau, Jean Honoré Fragonard ou encore Hubert Robert. En gravure, on retrouve des œuvres de maîtres tels queMartin Schongauer, Albrecht Dürer, Lucas de Leyde, Rembrandt encore (avec un ensemble exceptionnel de 350 pièces), Antoon Van Dyck, Jean Honoré Fragonard et Antoine Watteau.
Quelques grandes expositions
- 1955 : Artistes étrangers en France (Alkis Pierrakos, Geneviève, Nina Tryggvadottir, Zaven Hadichian, Paul Jenkins...)
- 1967 : Les trésors de Toutânkhamon. Organisée par l'égyptologue Christiane Desroches Noblecourt, l'exposition doit aider au sauvetage des temples de Nubie, dont les temples d'Abou Simbel, menacés de disparition par la mise en place du Haut barrage d'Assouan. Le concept de « patrimoine de l'humanité » émerge alors. L'exposition qui relancera la passion française pour l'Égypte, durera plus de six mois et rassemblera quelque 1,2 million de visiteurs.
- 1996 : L'œuvre gravée d'Albrecht Dürer. (102 cuivres et 122 bois). Collection du musée du Petit Palais, Musée du Petit Palais, Paris, du 4 avril au 21 juillet
Jacek Yerka
Plongez dans l'univers fascinant et surréaliste du peintre Jacek Yerka
Auteur de toiles hallucinantes qui n'ont rien à jalouser à celles des grands noms du courant Surréaliste, les peintures de Jacek Yerka révèlent des univers complètement délirants qui n'ont pour seule limite que l'imagination de l'artiste.
Le peintre polonais Jacek Yerka est, à l'image de Salvador Dali ou René Magritte, un véritable maitre du Surréalisme. Peignant des tableaux tour à tour énigmatiques, fantastiques où carrément effrayants, l’artiste de 60 ans impose un style bien à lui qui ne manque jamais de faire référence aux années 50, époque de son enfance et sorte d'Âge d'or à jamais perdu.
acek Yerka est un artiste polonais né en 1952.
Yerka a étudié l’art à l’université, ses maîtres européens nordiques sont : Eycks, Dierck, Robert Campin, Bosch, et les surréalistes tels que Magritte.
Les peintures soigneusement rendues de Yerka (acryliques sur la toile) sont remplies d’images d’enfance de l’artiste.
Yerka a beaucoup été influencé par son environnement dans les années 50 : sa maison ; la cuisine de sa grand-mère où il a passé beaucoup de temps.
Pour moi, les années 50 étaient un genre d’âge d’or. C’étaient les années heureuses de mon enfance, remplies de merveilles du monde autour de moi. Cela se reflète dans tout mon travail : dans les bâtiments, les meubles, et les divers bibelots d’avant-guerre. Si je devais par exemple peindre un ordinateur, il aurait certainement un esthétique d’avant-guerre à lui... »
Le travail de Jacek Yerka a été exposé en Pologne, en Allemagne, au Monaco, en France, et aux Etats-Unis. Ses travaux sont également visibles dans les musées polonais d’art.
En conclusion : l’art de Yerka résonne avec celui des artistes surréalistes célèbres du passé : de Hieronymus Bosch et Pieter Brueghel à salvador Dalí et René Magritte.
Zoé Bradley
Cliquez sous le lien si cela vous plaît ?
Les extraordinaires créations de papier de Zoé Bradley :
http://www.billcharles.com/bradley/zoebradley_1.htm
et
http://www.maxitendance.com/2008/11/zoe-bradley-la-mode-en-papier.html
le Sreet-Tricot ou Yarn-Bombing
Connaissez vous le Sreet-Tricot ou Yarn-Bombing...?
"Art qui renouvelle le Graff en version Rainbow Warriors.
Mouvance artistique au carrefour du Land Art, Pop'Art et Sreet-Art"
Qui met du peps et de la Joie dans notre quotidien?
Alors vite à nos aiguilles!
http://www.boumbang.com/le-yarnbombing
Françoise Petrovitch
Francoise Petrovitch
Commence aujourd’hui : 28 mars → 11 mai 2013
Délaissée au profit du dessin et de la céramique, la peinture s’est à nouveau imposée à Françoise Pétrovitch pour donner une nouvelle dynamique à sa réflexion. À l’éphémérité de l’encre sur papier, elle revient aujourd’hui vers une stabilité de l’huile sur toile. Un choix technique d’abord lié à un plaisir du traitement de la matière, de la couleur et de la forme. L’artiste savoure la sensation de perdition, le sentiment d’une totale remise en question du dessin et de l’éloignement du sujet.
Depuis trois ans, elle développe trois registres, les Nocturnes, les Colorées et les Gants, qui lui permettent d’explorer différentes lumières, tonalité et gestuelles. Les Coloréesaffirment une présence, les figures nous regardent. Les Nocturnes sont muettes, les êtres nous tournent le dos, leurs yeux sont clos ou bien dirigés vers le sol. Au rayonnement et à l’ouverture recherchés dans ses peintures aux accents plus acidulés, l’artiste favorise l’intériorité, l’énigme et le caractère insaisissable de ces corps recentrés sur eux-mêmes. Les Gants tendent vers l’abstraction, le sujet disparaît silencieusement. Les cadrages enserrés sur les mains tenant des paires de gants conduisent vers une perte des repères, du dessin.
Une attention particulière est donnée aux gestes et aux enjeux de la peinture. Le fond et le sujet s’entremêlent doucement, ils se font paysages. Réel et irréel se tutoient. Les œuvres génèrent une ambiguïté, un trouble. Les grilles de lectures oscillent entre bienveillance et cruauté, politesse et transgression, naïveté et souffrance, lumière et obscurité. Les figures ne sont pas bavardes, ici la narration est à peine amorcée, rien de plus. La solitude, la violence, le doute ne sont pas immédiats, les apparences sont trompeuses. Des indices chromatiques et symboliques nous amènent vers des territoires complexes et souvent emprunts d’un malaise. Des mains raidies, des larmes aux yeux, un regard fuyant, une tête penchée. Un malaise est installé. Les figures semblent livrées à elles-mêmes, elles sont comme suspendues dans un espace flottant, indéfini. Elles s’accrochent à des objets ou à des petits animaux mi-morts, mi-vivants. Une fillette serre le cou d’un corbeau, une autre s’agrippe à un faon sanguinolent, un garçon nous présente un poussin irradiant, des mains nous présente un oiseau mort. L’enfance est un prétexte pour nous parler des failles humaines que Françoise Pétrovitch sonde sans relâche non pas pour y apporter des réponses, mais plutôt pour leur donner une chair, une réalité (é)mouvante.
Julie Crenn
- Vernissage Jeudi 28 mars à 18:00
54, rue Chapon
75003 Paris
T. 09 79 26 16 38
Arts et Métiers
Réaumur – Sébastopol
Horaires
Du mardi au samedi de 11h à 19h
Et sur rendez-vous