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L'Art à travers le  Monde

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L'Art à travers le Monde
  • Ce blog est un inventaire, créé au travers des sites que je visite. J'y sélectionne ce qui me plaît. Je vous présente des portes. A vous de les ouvrir ou de les laisser closes. Je ne garde rien, Je veux que ces créateurs soient connus du plus grand nombre.
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2 juin 2014

Marie Christophe créatrice sur fil de fer, gros coup de cœur !

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Coup de cœur

Artiste, sculpteur aux fils de fer, Marie-Christophe a créé son propre univers, très poétique. Ces sculptures de fer sont fantastique(étage j'aime particulièrement ses animaux très réalistes. Le volume, la finesse des traits, la simplicité du fil de fer rendent ses créations aériennes, originales et uniques. Pour connaître les prix et découvrir les nouvelles sculptures, contactez directement Marie Christophe, elle se ferra un plaisir de vous renseigner.

Idée : Acheter du fil de fer très souple et faites vous même vos créations puis installer les dans les airs en les attachant au plafond.

 

Atelier Marie Christophe

15/17, rue Foucault
92110 Clichy - France

tel / fax : +33 (0)1 47 37 72 20 - mobile : +33 (0)6 03 22 77 48

Visites sur rendez-vous : info@mariechristophe.com

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12 mai 2014

OaKoAk

 

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OaKoAk s'inspire de l'environnement urbain pour créer des scènes pleines de poésie et d'humour, qu'il soit noir ou plus léger. Ses graffitis ont un petit côté enfantin qui font échos à des personnages issus de la culture populaire ou à des scènes de la vie quotidienne. A découvrir !

 

Qu'elles soient inspirées des dessins animés de notre enfance, de scènes de la vie quotidienne, ou qu'il s'agisse d'un petit trait d'humour, les créations de OaKoAk sont toujours pleines de poésie et font appel à notre esprit. Les graffitis de cet artiste détournent avec brio l'environnement urbain, dans lequel OaKoAk y voit des scènes tout droit sorties de son imagination, mais qui font mouche à chaque fois. Aperçu

 

 

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http://www.planet.fr/magazine-street-art-oakoak-detourne-lenvironnement-urbain-pour-creer-des-scenes-pleines-dhumour.586448.6553.html

 

10 mai 2014

RAVALICO DIEGO photo numérique

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Ravalico Diego

 

Né en 1959 à Trieste (Italie).  Il aime l' artistiques et aller crée les photographies de photos noir et blanc de peintures numériques. il as exposé ces œuvres à Trieste, Paris, Milan.

 

 

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Site Web                 http://www.diegoravalico.it

 

 

           Photographe, photo numérique peintre

 

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8 mai 2014

l'Art de la Sculpture à travers nos photos

18 avril 2014

OaKoasK artiste de rue

OaKoAk s'inspire de l'environnement urbain pour créer des scènes pleines de poésie et d'humour, qu'il soit noir ou plus léger. Ses graffitis ont un petit côté enfantin qui font échos à des personnages issus de la culture populaire ou à des scènes de la vie quotidienne. A découvrir !

 

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Qu'elles soient inspirées des dessins animés de notre enfance, de scènes de la vie quotidienne, ou qu'il s'agisse d'un petit trait d'humour, les créations de OaKoAk sont toujours pleines de poésie et font appel à notre esprit. Les graffitis de cet artiste détournent avec brio l'environnement urbain, dans lequel OaKoAk y voit des scènes tout droit sorties de son imagination, mais qui font mouche à chaque fois. Aperçu

 

lien externe  

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http://www.planet.fr/magazine-street-art-oakoak-detourne-lenvironnement-urbain-pour-creer-des-scenes-pleines-dhumour.586448.6553.html

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8 avril 2014

Peintures corporelles

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8 avril 2014

Graffitis végétal sur Mousse

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8 avril 2014

MBAM Maître verrier

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8 avril 2014

Musée de Carnavalet (gratuit) Gros coup de cœur pour ce splendide Musée

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LE MUSÉE CARNAVALET…OU L’HISTOIRE DE PARIS EN HÉRITAGE 


Sous ce nom quelque peu énigmatique, se cache le plus parisien des musées de la capitale. Doyen des musées municipaux, Carnavalet a pour vocation de faire connaître l’histoire de Paris, depuis ses plus lointaines origines (une pirogue préhistorique date de 4600 avant J.-C.) jusqu’à nos jours et sous ses aspects les plus divers. Historique par essence, Carnavalet n’en demeure pas moins un musée d’art, présentant essentiellement des œuvres originales, fidèles au génie propre de Paris.

 Le roman de Paris

Dans un cadre architectural remarquable (deux hôtels particuliers du Marais), le roman de Paris se déroule au fil de la centaine de salles et des jardins colorés où prospèrent quelque mille espèces végétales. À travers les décors reconstitués du XVIIe au XXe siècle,  le visiteur peut, à l’envi, suivre l’évolution des intérieurs parisiens, se plonger dans l’histoire des révolutions — de la Révolution française à la Commune de Paris —, mais aussi s’immiscer dans l’intimité de Parisiens illustres : imaginer, par exemple, la marquise de Sévigné, assise à son bureau laqué chinois, écrivant sa fameuse correspondance, ou encore Marcel Proust dans sa chambre, entre son lit de laiton et sa petite table couverte de plumes, encre et cahiers… 
La proximité des œuvres d’art, l’attachement qui se crée avec les personnalités des différents milieux intellectuels, politiques et artistiques de la capitale, l’émotion suscitée par les scènes historiques, font toute l’originalité de ce musée d’histoire et lui confèrent une atmosphère unique, celle de la Ville lumière à travers les siècles.

Un musée, deux hôtels
L’idée d’un musée consacré à l’histoire de Paris s’imposa sous le Second Empire, alors qu’une grande partie du cœur historique de la capitale disparaissait sous la pioche des démolisseurs. En 1866, à l’instigation du baron Haussmann, la municipalité se porta acquéreur de l’hôtel Carnavalet pour y abriter la nouvelle institution. L’édifice, bâti en 1548 et remanié au XVIIe siècle par François Mansart, avait été habité, de 1677 à 1696, par Madame de Sévigné. 
Le musée ouvrit ses portes en 1880. Agrandi à plusieurs reprises, il occupe également, depuis 1989, l’hôtel Le Peletier de Saint-Fargeau, édifice voisin bâti en 1688 par Pierre Bullet. Son orangerie, l’une des deux dernières subsistant dans le Marais, restaurée en 2000, abrite les collections préhistoriques et gallo-romaines.

 

Conclusion

Le Musée Carnavalet est un  musée  qui raconte l’histoire de Paris. Il  est composé,  de peintures, de sculptures, de chambres avec des meubles, de dessins et d'autres artefacts. Il se compose de deux maisons-" l’Hôtel Carnavalet" et "l’Hôtel le Peletier de Saint Fargeau". Les deux bâtiments sont liés avec un magnifique jardin d'une conception complexe. Le Musée  et beaucoup moins grand que le Musée Louvre, mais aussi très intéressant.

LIEN EXTERNE

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http://fr.sitestat.com/paris-touristoffice/grand-public/s?wwwcarnavaletparisfr&ns_type=clickout&ns_url=www.carnavalet.paris.fr

8 avril 2014

Les Sculptures sur papier déroulantes de Li Hongbo, gros coup de coeur pour cette artiste chinois

Les sculptures sur papier déroutantes de Li Hongbo

 

Les sculptures de l'artiste chinois Li Hongbo, entièrement réalisées en papier, sont exposées à New York jusqu'au 2 mars. A première vue solides, ces bustes, corps et crânes, constitués de centaines de couches de papier empilées, sont souples et déformables. Pour le public, "un corps humain ça ne peut pas s'étirer, donc sa représentation non plus. Moi, je veux changer cette vision des choses", confie Li Hongbo.

L'artiste, qui devient une référence de la sculpture chinoise, expose un peu partout à travers le monde. Li Hongbo utilise des milliers de couches de papier de soie. Il s'inspire des jouets traditionnels chinois faits en papier et reproduit des formes et des objets usuels. On les voit ainsi bouger, se tordre ou s'allonger.

 

8 avril 2014

30 000 visiteurs !!! je vous remercie tous pour vos visites et vos commentaires !!!

30000 visiteurs remerciement l'art à travers le monde

3 avril 2014

Léopold et Rudolf Blaschka maître verrier allemands

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Léopold et Rudolf Blaschka

 

Léopold Blaschka (né le 27 mai 1822 et décédé en juillet 1895) et son fils Rudolf Blaschka (né le 17 juin 1857 et décédé le 1er mai 1939) étaient des artisans verriers allemands connus pour leurs réalisations de représentations en verre du monde floral et animal.

Biographie de Léopold

Léopold Blaschke est né à Český Dub, ville du nord de la Bohême en République tchèque dans une famille originaire de Antoniwald des monts de la Jizera, région connue pour son industrie du verre, des métaux et des pierres précieuses1. La famille avait également vécu dans l'industrie des verreries de Venise.

Enfant, Léopold montrait déjà une habileté artistique et était apprenti chez un orfèvre et tailleur de pierres précieuses. Ensuite il rejoignit l'entreprise familiale, laquelle produisait des ornements en verre et des prothèses oculaires. Il développa une technique qu'il appela filage de verre, qui lui permettait la fabrication d'œuvres en verre de grande précision et finement détaillés.

Léopold Blaschke fit latiniser son nom de famille en Blaschka et orienta l'entreprise vers la fabrication de prothèses oculaires.

En 1853, en raison d'un mauvais état de santé, un voyage en mer fut prescrit à Léopold Blaschka. Il fit un voyage aux États-Unis et retour. Il profita de son temps libre pour étudier et dessiner des animaux marins invertébrés.

Premières œuvres

Rudolf, le fils de Léopold, naquit en 1857. La famille s'installa à Dresde afin de donner à leur enfant des meilleures opportunités d'éducation1. Léopold commença à fabriquer des œuvres en verre représentant des fleurs exotiques qu'il avait vues dépeintes dans des livres. Le prince Camille de Rohan entendit parler de son travail et lui commanda 100 modèles d'orchidées pour sa collection privée 1863, le Muséum Senckenberg de Dresde (le Museum für Tierkunde) commanda à Léopold la réalisation de douze exemplaires d'anémones de mer. Bien que ces projets étaient basés sur des dessins dans des livres, Léopold utilisa rapidement ses propres dessins pour reproduire des exemplaires très détaillés d'autres espèces animales 1 et sa renommée prit rapidement de l'ampleur2.

Léopold Blaschka commença à vendre des représentations d'invertébrés marins aux musées, aux aquariums, aux universités et à d'autres corps enseignants qui souhaitaient une aide visuelle mais qui ne savaient pas conserver ces animaux de façon satisfaisante. . Cette méthode présentait une grande amélioration dans la représentation des animaux qui jusqu'à ce moment étaient présentés sous forme de dessins, calandragesphotographies et réalisations en papier mâché ou en cire. Progressivement il étendit son champ de travail à l'étude des animaux marins de la Mer du Nord, de la Mer baltique et de la Mer Méditerranée et plus tard il fit construire un aquarium à son domicile afin de maintenir en vie des spécimens qui lui servaient de modèle.

Production de fleurs en verre

Les Blaschka utilisaient un mélange de verre clair et de verre coloré et utilisaient parfois un fil métallique servant de support pour produire leurs modèles. De nombreuses pièces étaient peintes, ce travail étant entièrement confié à Rudolf3. En vue de représenter des plantes qui n'existaient pas dans les environs de Dresde, Léopold et Rudolph étudièrent les collections de plantes exotiques du Château de Stillnitz  ainsi qu'au jardin botanique de Dresde (Botanischer Garten der Technischen Universität Dresden). Ils cultivèrent également des plantes issues de graines envoyées des États-Unis.  En 1892, Rudolf parti en voyage dans les Caraïbes et aux États-Unis afin d'étudier plus de plantes. Il ramena de nombreux dessins très détaillés et de nombreuses notes.

En 1895, Rudolf fit un second voyage vers les États-Unis. Léopold Blaschka mourut durant le voyage de son fils. Rudolf continua à travailler tout seul. Au début du vingtième siècle, Rudolf trouvait qu'il ne lui était plus possible d'acheter du verre d'une très bonne qualité, il commença alors à produire son propre verre.

Rudolf continua à réaliser des modèles en verre jusqu'en 1938. A l'âge de 80 ans, vieux et fatigué, il annonça qu'il se retirait. Ni lui ni son père n'avaient formé un apprenti et Rudolf ne laissait pas de successeur1. Rien que pour Harvard, Léopold et Rudolf avaient réalisé plus de 3 000 modèles de plantes de 780 espèces différentes, toutes à taille réelle et finement détaillés.

Les œuvres de Léopold et Rudolf Blaschka sont conservées dans différentes universités et musées d'histoire naturelle, notamment au :

  • Muséum d'histoire naturelle de Genève (Suisse)
  • Boston Science Museum, Boston (États-Unis)
  • Harvard Museum of Natural History, Cambridge, Massachusetts (États-Unis)
  • Hancock Museum, Newcastle upon Tyne, (Grande-Bretagne)
  • Aquarium-Muséum de Liège (Belgique)

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Liens externes 

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26 mars 2014

Jodi harvey-Brown... artiste sculpteur sur papier... époustouflant !!!

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Une artiste sculpte ses livres pour illustrer les magnifiques histoires qu’ils contiennent

 

Avec l’arrivée des nouvelles technologies et du livre électronique, les bouquins pourraient bientôt devenir obsolètes. Une artiste américaine a trouvé une façon de leur donner une nouvelle vie, en sculptant leurs pages afin qu’elles illustrent les histoires qu’elles contiennent. On vous fait découvrir ses incroyables créations !

Tout a commencé le jour ou Jodi Harvey-Brown n’a pu résister à l’envie d’acheter de vieux grimoires dans une bibliothèque d’occasion. Elle plie, tord et sculpte les livres. D’après Jodi, les livres que nous aimons lire doivent être déployés pour prendre vie. Comme si les personnages sortaient des pages pour nous raconter eux-mêmes l’histoire.

Personnages de fiction bien connus, créatures de mer, monstres, navires et aéronefs sont portés à la vie par l’imagination vive de Jodi et sa grande passion pour la lecture. Pour faire ses magnifiques sculptures, l’artiste utilise également un manteau UV pour protéger les pièces contre le soleil et l’humidité.

 

J'ai été époustouflé par la minutie du travail de Jodi qui illustre en relief le contenu de ces ouvrages !

Et vous, quels livres aimeriez vous redécouvrir de cette façon ?

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25 mars 2014

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19 mars 2014

Artiste chinois Krishinafu

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3 mars 2014

Peintres diverse Charles Edouard , Adrien Moreau Alfred Guillou...

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26 février 2014

Reportage au cœur de l'univers et secret des collectionneurs à voir absolument !

 

SÉRIE COLLECTOR : PHILIPPE D'HÉMERY

Avec ce premier reportage, Slash ouvre sa section Vidéos et propose une plongée au cœur de l’univers secret des collectionneurs. Premier volet d’une série en développement, nous vous invitons au cœur d’une collection aussi exceptionnelle que surprenante, celle d’Elisabeth et Philippe d’Hémery, où l’art contemporain a su émerger d’une catastrophe naturelle.

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http://slash-paris.com/videos/serie-collector-philippe-dhemery?utm_campaign=members-fr&utm_medium=email&utm_source=weekly-update

22 février 2014

Benjamin Shine Saluons son talent !!!

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En pliant de simples tissus, Benjamin parvient à créer de magnifiques portraits

 

 

Benjamin est un artiste qui sort des sentiers battus puisqu’il utilise de simples tissus pour exprimer son art. En effet, c’est en les pliant et en les soumettant à de fortes températures qu’il arrive à en faire de sublimes portraits réalistes. DGS vous présente son incroyable talent.

Benjamin Shine est un artiste britannique que toutes les femmes rêveraient d’avoir. Eh oui, pour créer ses œuvres il n’hésite pas à user d’un outil que beaucoup cherchent à éviter à tout prix : le fer à repasser. Il utilise en effet cet objet pour modeler et sculpter du tulle comme bon lui semble, afin de réaliser de sublimes et réalistes portraits. Il précise que cette matière est tout bonnement géniale pour travailler les différents tons et ombrages puisque sa transparence offre plus de texture et de profondeur à ses œuvres

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Le travail de Benjamin est à la fois original et impressionnant. Je salue son talent et nous espérons qu’à l’avenir, il nous offrira des œuvres aussi géniales que celles-ci. Et vous, avez-vous été impressionné par ses œuvres ?

2 février 2014

Je vous emmène à Montmartre où j'ai flâné ça et là ! selon mon cœur, quel coin artistique superbe !!!

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Montmartre est un ancien village rattaché à Paris en 1860, sur une colline dominant la ville à 130 mètres de  hauteur. Son territoire compose l’essentiel du 18e arrondissement, au nord de Paris et est l’un des plus visités de la capitale. Son nom viendrait soit de Mont-Mars (dieu de la guerre des romains), soit de Mont-Martyrs.

On vient à Montmartre pour se promener dans ses vieilles rues aux charmes d’antan et encore emplies d’artistes, comme la place du Tertre, ou bien la rue Lepic et son café Les Deux Moulins, célèbre depuis le film Amélie Poulain, les bâtiments années 30 de la rue Saint-Vincent... ; mais aussi pour sa dimension religieuse importante.

Montmartre n’est plus un village populaire tel qu’il le fut, et les “bourgeois-bohèmes” (bobos) ont remplacé les artistes-bohèmes. Les bobos entretiennent cependant l’esprit des lieux, même si l’authenticité n’est plus tout à fait au rendez-vous..

 

On peut également y voir :

 

- Le funiculaire de Montmartre, qui permet depuis l’an 1900 de gravir la butte sans fatigue, il est à proximité des métros Abbesses et Anvers.

 

- Le vignoble le plus connu de Paris : et si vous venez visiter Montmartre en octobre, vous aurez la surprise d’y assister à des vendanges ! Cette culture de la vigne n’est pas nouvelle : le dieu Bacchus eut sur la Butte un temple qui lui était dédié ; et les Abbesses possédaient aussi un pressoir près de l’église Saint-Pierre. En 1576, une politique de réduction du nombre de tavernes est mené dans Paris, et ses habitants prennent alors l’habitude de venir à Montmartre dans ces nouveaux cabarets qui éclosent un peu partout. On y sert les vins locaux venant des vignes de Sacalie, la célèbre Goutte d’Or, le Clos Berthaud, la Sauvageonne, la Vigne de Bel-Air.

Mais, avec l’annexion de Montmartre à Paris en 1860, les vignobles disparaissent peu à peu. Gérard de Nerval veut acheter la dernière vigne en 1854.

En 1910, on peut encore voir deux treilles du vignoble de Montmartre rues Damrémont et Lepic.

En 1929, le peintre Francisque Poulbot et quelques amis écrivains et artistes sauvent de l’expansion immobilière un terrain municipal en y plantant quelques ceps de vigne. En 1933, on poursuit la plantation avec plus de trois mille plants de Thomery et trois plans de Morgon.

L’année suivante commence la traditionnelle fête des vendanges qui se poursuit chaque année. Des vedettes y sont invitées.

 Le vin de Montmartre, ses chansons et ses artistes, donnèrent une renommée mondiale aux cabarets de la Butte.

 

 Le cimetière de Montmartre

les tombes, entre autres, de :

André-Marie Ampère (1775-1836), physicien

Henri Beyle dit Stendhal (1783-1842), écrivain

Madame Récamier (1777-1849), salonnière, femme de lettres

Alfred de Vigny (1797-1863), écrivain

Hector Berlioz (1803-1869), compositeur

Théophile Gautier (1811-1872), écrivain

Jacques Offenbach (1819-1880), compositeur

Émile Zola (1840-1902), écrivain (cénotaphe, cendres transférées au Panthéon en 1908)

Edgar Degas (1834-1917), peintre et sculpteur

Georges Feydeau (1862-1921), dramaturge

Louis Jouvet (1887-1951), acteur

Sacha Guitry (1885-1957), acteur, réalisateur de cinéma

Marie Pierre Kœnig (1898-1970), maréchal de France

Henri-Georges Clouzot (1907-1977), réalisateur de cinéma

François Truffaut (1932-1984), réalisateur de cinéma

Yolanda Gigliotti dite Dalida (1933-1987), chanteuse et actrice

Michel Berger (1947-1992), auteur, compositeur et chanteur

 

UN VILLAGE D’ARTISTES

De nombreux artistes vinrent donc y travailler ou s’y installer aux XIXe et XXe siècle, comme Pissarro, Steinlen, Toulouse-Lautrec, Van Gogh, Modigliani, Picasso et beaucoup d’autres, avant que Montparnasse et Saint-Germain-des-Prés, lieux plus centraux dans Paris, les fassent descendre de la Butte Montmartre. Des courants artistiques comme l’Impressionnisme, les Cubisme, Fauvisme, Futurisme, Surréalisme s’y développèrent. 



La Place du Tertre (photo) est aujourd’hui le symbole de cette vie artistique. De nombreux peintres y vendent leurs toiles, à côté des caricaturistes.

 

Le Bateau-Lavoir, au 13, rue de Ravignan, sur une jolie place, fut dès le début du XXe siècle un lieu de réunion pour de nombreux artistes et écrivains. Suite à un incendie en 1970, il fut rasé et reconstruit pour accueillir des artistes étrangers. Maxime Maufra fut le premier à y emménager, en 1892, suivi de peintres italiens et espagnols dont Paco Durio. Picasso y resta de 1904 à 1909, et il garda son atelier ici jusqu’en 

 

1912. Sa période rose fut développée ici, le Repas Frugal (1904) ou les Demoiselles d’Avignon (1909). Il y voyait Braque régulièrement, Guillaume  Apollinaire qui écrivait des articles sur lui et son groupe d’amis. Nombre d’autres, comme Modigliani, mais aussi les poètes Mac Orlan, André Salmon et Max Jacob, y habitèrent.

 

 

LES CABARETS DANS L’HISTOIRE

- Le Lapin Agile : 4, rue des Saules, est le seul survivant des cabarets montmartrois. En 1860, ce n’est qu’une guinguette Au Rendez-vous des voleurs qui devint le Cabaret des Assassins puis le Lapin Agile grâce à l’enseigne d’André Gill (1880) (aujourd’hui au musée de Montmartre).

 

- Le Chat Noir : le plus connu d’entre eux, fut ouvert en 1881 par Rodolphe Salis, d’abord rue Rochechouart, puis au 12, rue Laval, aujourd’hui devenue la rue Victor Massé. Un théâtre d’ombres, grâce aux peintres Henri Rivière et Caran d’Ache, présentait plus de quarante pièces dont L’Epopée et Ailleurs. Des zincs sont conservés au Musée de Montmartre ainsi que le tableau que Sallie avait commandé à Willette : le Parce Domine (1884).

   

- Le Divan Japonais : Il fut tenu de 1883 à 1892 par le poète Jehan Sarrazin, puis par le fantaisiste Maxime Lisbonne. C’est dans cet établissement que fut applaudie Yvette Guilbert pour la première fois.

Et aussi : Le Mirliton, Le Ciel, L’Enfert, Le Néant, Les Quat’Z’Arts... étaient les hauts lieux des nuits artistiques de Montmartre au début du XXe siècle.

 

LES CABARETS ACTUELS : 

 

- Le Moulin Rouge : célèbre de part la monde, l’inventeur du French Cancan est au pied de la Butte Montmartre depuis 1889.

82 bd de Clichy - 01 53 09 82 82 

Voir la note détaillée sur notre page Paris Folieswww.moulinrouge.fr

 

- Le Tire-Bouchon : 9 rue Norvins - Tél : 01 42 55 12 35

Près de la place du Tertre.

 

- Chez Michou : Le célèbre cabaret de transformistes

80 rue des Martyrs  01 46 06 16 04    www.michou.com

 

 

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28 janvier 2014

Cartes anciennes de la St Valentin

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